Archives du blog

lundi 30 mai 2022

Mort de Blessing Matthew : les gendarmes mis en cause

 Le 7 mai 2018, la jeune migrante Blessing Matthew est morte noyée près de Briançon. La justice a prononcé un non-lieu à l’égard des gendarmes. De nouveaux éléments mis au jour par Border Forensics pourraient aboutir à une réouverture de l’enquête.


dimanche 29 mai 2022

Complotisme : si loin, si proche

Un peu de pensée complexe et subtile dans ce monde binaire:pour éviter de penser sans son consentement des idées réactionnaires.

Émission a écouter  sur la manipulation du complotisme par l’extrême droite : les liaisons des mouvements sectaires, new age... Subtil et pas caricatural 


 

Le numéro 1


Le numéro 2


Le numéro 3:



lundi 28 mars 2022

La grenouille va-t-elle sursauter ?


Depuis Kyoto en 1999, et son fameux protocole qui acta que le réchauffement climatique était un enjeu mondial, l’humanité n’a pas fait grand-chose à part des grandes messes et des rapports. Elle est comme une grenouille dans un récipient qui se faire cuire à petit feu sans réaction. La stupide guerre tribale poutinienne entraîne un choc dans l’approvisionnement de matières premières, notamment énergétiques. Va-t-elle provoquer un sursaut de la grenouille? Va-t-elle essayer de réagir et enfin déployer un effort gigantesque, cet effort qu’elle a déjà réalisé, que nous nommons « effort de guerre »? Le rapport du GIEC, lui, nous prédit une guerre sans fuite possible si nous continuons à rejeter du Co2 dans l’atmosphère.

Nous ne pourrons pas signer de traité de paix avec un climat extrême.

 

 Les ouragans feront aussi bien que les bombes à vide de Poutine.

La montée des eaux assiégera aussi bien les villes côtières et provoquera les mêmes exodes.

Les centrales nucléaires foutront autant la trouille, elles seront en difficultés quand l’eau manquera pour les refroidir.

Les villes seront assiégées de chaleur et l’atmosphère aussi étouffante qu’en temps de guerre. Le couvre-feu sera diurne au lieu d’être nocturne.

Les méga-incendies rôtiront aussi bien les paysages et les maisons que des bombes atomiques.



Les maladies générées feront aussi bien que nos armes chimiques.

Les vents extrêmes feront aussi bien tomber nos pylônes électriques qu’un bombardement minutieux.

Les pénuries seront monnaie courante et la nourriture sera le souci quotidien. Les coupures de courant seront la règle. En restant dans le capitalisme, la spéculation sera intense et l’inflation sera quotidienne comme dans une bonne guerre.

Les embargos seront édictés. Chaque pays voudra garder sa ressource et les exportations de nourriture seront limitées.

Le problème ne sera plus de vendre mais d’acheter. Le marché noir sera régi par les gangs mafieux.

Les réfugiés seront légion, leur accueil doit devenir un savoir-faire.

Le capitalisme sera remis en question et des tabous tomberont, comme nos convictions. Tout un logiciel à reconfigurer, il aura ses bugs mais le précédent ne fonctionne plus.

Alors autant faire tomber nos tabous rapidement, sans attendre, d’abord dans nos têtes puis dans la vraie vie (ça ne peut marcher que dans cette séquence).

 Le premier tabou à abattre est celui de la spéculation, de la répartition des richesses capitalistes. On nous a fait croire que le capitalisme était un fonctionnement naturel et que l’argent va aux plus riches comme l’eau va la rivière. Ils ont oublié de parler de la pluie qui répartie l’eau. Il faut la pluie et l’irrigation.

Le capitalisme gère déjà très mal la répartition de richesse en temps de paix, alors en temps de guerre, il amplifie le chaos. Un système qui, en temps de paix est déjà capable de faire pourrir du blé à côté d’affamés, comment va-t-il le répartir en temps de guerre ? Il est capable de continuer à transformer du blé en biocarburants (E85) pendant que les yeux des enfants affamés sortent de leurs orbites, à une journée de bateau de nos pays privilégiés. Il est capable de continuer à rendre malades des gros au nord pendant qu’on mange de la terre au sud. A continuer à produire de la mauvaise viande coûteuse en céréales, c’est-à-dire à préférer nourrir des bêtes qui souffrent que de soulager la faim d’humains. La spéculation est déjà pénible en temps de paix, en temps de guerre elle est criminelle. Un système qui encourage et donne tout le cadre légal à la spéculation, qui évite aux spéculateurs de payer des impôts est un système de complicité de crimes. Un système mafieux. La planification, la régulation des prix et le rationnement sont nécessaires dans chaque guerre. Au cours de l’histoire, les pays qui ne l’ont pas fait, ces pays ont perdu la guerre.

Un autre tabou à abattre dans nos têtes: l’affectation libre des investissements et de l’épargne.

Dans le système actuel, chacun est libre d’investir son argent là où il le souhaite: si nous préférons faire des golfs et des maisons secondaires à la place de logements pas chers, c’est possible, même avec de l’argent public. Dans une guerre, c’est l’état qui décide de ce qui doit être fabriqué. Les banques sont sous tutelle et l’argent mis de côté doit être investi dans l’effort de guerre.

Un tabou à abattre et plus compliqué à faire tomber : le marché fixe les prix.      


              


  Dans une économie de guerre, les prix sont fixés par l’état qui mène en parallèle un système de rationnement. Le marché noir se développe mais l’état le réprime de manière judiciaire et l’opprobre moral est important. Il est ainsi limité. Chacun accède à une part de la consommation minimale des denrées de base. La consommation supplémentaire devient onéreuse. Les prix d’achat des matières étant fixés aussi pour les producteurs et les industries, ceux-ci ne sont pas en faillite. Ils produisent en fonction de ce qu’ils peuvent acheter et non en fonction de ce qu’ils peuvent vendre. Conséquences: ils ont intérêt à produire durable et l’obsolescence programmée disparaît. Ils ont intérêt à vendre du service, comme de la réparation. Autre conséquence: le marketing, la publicité font faillite et les employés doivent être reconvertis en paysans, installateurs solaires, psychologues, formateurs, agents des services sociaux, propagandistes dans l’effort de guerre climatique.

Un tabou moderne à abattre: l’effet d’échelle et ses économies: plus une usine est grosse et plus elle est rentable, le transport ne coûtant pas grande chose. Nous passons d’une énorme usine de pain de mie par pays à une petite par département. Un maillage est bien plus résilient, si une usine est détruite par la guerre climatique il en reste 99 autres. Le choix d’usine modulaire, répétitive, permet d’affronter les dégâts de guerre climatique.

Un tabou à abattre: la productivité. Nous remplaçons la recherche de la productivité du travailleur par la productivité de la matière et de l’énergie. Au lieu de toujours remplacer des hommes par des machines, nous faisons, l’inverse. Ainsi au lieu de robotiser l’agriculture, nous la manuelisons. Nous obtenons ainsi le plein emploi et compensons la destruction de nombreux emplois dans les domaines devenus obsolètes. Actuellement la solidarité est financée par des cotisations sociales sur le travail. Nous faisons reposer la solidarité (les vieux, les enfants, les malades) sur l’impôt, les bénéfices, les taxes sur l’énergie et les matières premières. Remplacer du travail humain par des matières premières et de l’énergie devient coûteux.

Un autre tabou à abattre : la complexité du monde. Afin d’employer un maximum de monde à produire nos ressources essentielles, nous devons simplifier. Simplifier les organisations et les fonctionnements, avoir moins d’intermédiaires, moins de sous-traitance et devenir responsables de nos productions Des productions plus locales, avec plus d’humains partout peut simplifier un monde devenu, au fil de la mondialisation, d’une complexité inextricable.

A tous ceux qui, en lisant les lignes précédentes, voient apparaître un monstre bureaucratique stérilisant l’économie, ils oublient que le monde capitaliste est devenu un monde immensément bureaucratique, ou la complexité enrichit un tas d’intermédiaires, de contrôleurs de travaux finis, de revendeurs pas forcément bien utiles. Une organisation de la production, décentralisée, en direct, où le client est en face, risque de mettre au chômage une armée de bureaucrates chargés de gratter les soussous...

La guerre actuelle nous démontre que la fête est finie. La gueule de bois commence et nous devons agir, vite et bousculer notre quotidien et notre train-train. La guerre entre souvent par effraction et les gens heureux ou trop occupés ne la voient pas venir. Le grand historien Marc Ferro, expliquait comment, en 1940 en France, tant de gens n'avaient pas vu venir la guerre et comment elle avait bouleversé le quotidien de tous. Même les plus reculés et coupés du monde ont dû la subir. Dans celle à venir, il n’y aura pas d’échappatoire, pas de bunker, pas de refuge, nous sommes cernés.

L’avantage des chocs est qu’ils peuvent provoquer d’abord la sidération et ensuite le sursaut.

Notre monde se délite depuis des années et nous ronronnons à monter des usines à gaz de changements. Nous devons prendre conscience que la tragédie est là, que nous le voulons ou non, l’histoire nous rentre dedans. L’effort de guerre à mener est considérable, mais nous avons encore des forces. Le temps n’est plus à la discussion, aux polémiques oiseuses, nous n’avons plus de temps pour faire de la peinture verte, des petits gestes, des reformes de l’aménagement par touches, des plans climats...Non, nous avons à lutter contre une guerre climatique!

Nous avons à remettre des millions de paysans dans nos champs pour réduire la quantité de pétrole que nécessite la grosse agriculture chimique et produire 90 % de ce que nous mangeons, en instaurant une sécurité sociale de l’alimentation

Nous avons à remettre en place la circulation de milliers de bus et trains pour faire ce que nous faisions il y a un siècle : se déplacer collectivement !

Nous avons à refaire des petites usines dans tout le pays pour re-fabriquer sur notre sol les tuyaux d’eau, nos machines à laver, tout objet indispensable à une vie décente.

Nous avons à former des milliers de techniciens qui vont réparer et prolonger la vie de nos maisons, voitures, machines, ordinateurs.

Nous avons à construire nos éoliennes, nos panneaux solaires, à produire TOUTE notre énergie localement c’est-à-dire, à tirer notre lithium de nos sols, à accepter la pollution des usines de silicium et en détruisant le moins possible nos environnements. En connaissant le prix de sa production, nous serons obligés de l’économiser en collectivisant un maximum son utilisation:

Bien sûr l’effort demandé est difficile mais la guerre ce n’est jamais un pique-nique!


 

Dans toute l’histoire, pourquoi tant d’humains se sont sacrifiés pour l’effort de guerre, pour un drapeau, une tribu ? Les fanatiques peut-être mais quand tout un peuple est entré dans un effort de guerre il le fait fondamentalement pour ses enfants, car il sait que la sentence guerrière première est « malheur au vaincu ».

« Quand tu penses qu'il n'y a vraiment plus d'espoir, pense aux homards qui se trouvaient dans l'aquarium du restaurant du TITANIC. »

 




dimanche 27 mars 2022

Je vote pour un avenir en commun

Je vote pour un avenir en commun. Beaucoup souhaitent voter pour un avenir les uns contre les autres, les riches contre les pauvres, les tribus les unes contre les autres. Les dangers de la catastrophe climatique imminente est qu’un avenir est possible seulement en commun. La guerre que va nous mener le climat nous oblige à choisir son camp. Il n’est plus raisonnable d’être timoré, seul de grand changement peuvent nous préparer à affronter les catastrophes. Pour encaisser les chocs Il nous faut plus de solidarité, plus d’organisation c’est-à-dire de la planification, affecter les ressources à l'avenir, plus de services publics. L’optimisme ou le prolongement des courbes est une folie doublée d’un manque de flair. Cela confine soit a l’aveuglement, soit à la bêtise arrogante. Certains considère le vote comme inutile comme un remède inefficace, alors pourquoi ne pas essayer si cela ne sert pas ?

Ceux qui considère l’incarnation du programme de
l’avenir en commun comme antipathique même si l’ordonnance leur plait m’interroge : vous allez chez le médecin le plus sympa ou le plus compétent ? Ce que m’ont appris des années de luttes c’est que les idées ne sont pas tout, la volonté est aussi très importante et que c’est même une qualité fondamentale, comme ne pas craindre les affrontements, les polémiques, les coups tordus, les déceptions. Les gros caractères volontaires ont toujours les défauts de leurs qualités, c’est toujours livré avec, ainsi est l’humain.

Planifier la production, mettre la main sur l’investissement, taxé les surprofits, amaigrir les rentiers, fournir un effort de guerre dans la transition énergétique, rendre aux plus pauvres les besoins essentiels afin d’apaiser les tensions, changer toutes notre agriculture pour se nourrir dans un climat effrayant, restaurer les services publics, tout ceci est dans le programme de l’avenir en commun. Depuis 10 ans, ce programme muri et se réfléchis par des personnes compétentes, proches du terrain et imaginatives. Lisez-le il n’a pas été rédigé par une boite de com qui a fait bosser trois fils de pub 15 jours.

Depuis des années je lutte contre des projets stupides, néfastes qui détricote notre avenir. Remplir une petite enveloppe n’est pas très couteux en temps. Ce n’est largement pas suffisant mais nécessaires, il nous faudra encore beaucoup de combat pour y arriver même en gagnant les élections.

S’unir derrière un programme, peut aussi nous permettre de monter une force unie mais diverse,  bataillant dans les combats sociaux et dénonçant la propagande de ceux qui nous construise un avenir les uns contre les autres. Il fait 40 degrés en Antarctique, la boite de pandore est ouverte tout les maux s'en échappent , le dernier à sortir de la boite dit la légende fut l'espérance.


J.G



jeudi 24 mars 2022

« Si on fait le golf de Crots, ce ne sera pas avant 2026 »

 

Hautes-Alpes « Si on fait le golf de Crots, ce ne sera pas avant 2026 »

Le projet de golf qui pourrait voir le jour à Crots et qui fait débat ne figure pas dans les investissements jugés prioritaires par la présidente de la communauté de communes de Serre-Ponçon.

Par Bernard BRABANT - Aujourd'hui à 06:02 - Temps de lecture : 2 min

vendredi 18 mars 2022

Présidentielle 2022

En 2022, réélu sans débat démocratique:

Travail obligatoire pour les pauvres

Privatisation école Publique, hôpital, énergie

Retraite à quand on est plus bon au taf pour les ouvriers.

Inflation qui ruinera les petits revenus et pas d'augmentation du SMIC.

Pas de logement sociaux construits donc loyers toujours plus chers.

 


Fin du service publique de l'information

Plus de pesticides, et d'agriculture chimique

Pas d'énergies renouvelables tout dans le NUKE !

Toujours plus d'argent pour les oligarques.

En 2027: Réélu pour son troisième mandat, après avoir changer la constitution:

Tous les oligarques du régime s’emparent de tout dans un pays qui stagne, s'appauvrit, dont les services publiques  sont digne du tiers monde.

 En 2032 , réélu face a Jean Lassalle (rare candidat ayant eu ses parrainage) au second tour, il devient de plus en plus fou de lui même et se prend pour Napoléon 4 comme l'appelle Stéphane Berne. Il déclare la guerre à la Belgique qui pour lui maltraite les francophones. L'état piteux de l'armée française comme tout les services publiques, lui fait perdre la guerre....



Solaire l'enquête de Reporterre (journal indispensable)

  L’énergie solaire est une piste essentielle pour se passer des énergies fossiles. Si son développement a tardé en France, les projets aujourd’hui se multiplient. Avec un enjeu de taille : manger des terres agricoles ou couvrir des zones déjà bétonnées. Reporterre a mené une enquête en quatre parties.

dimanche 13 mars 2022

Pastille d’iode en France, le même coup que les masques ?

 Pastille d’iode en France, le même coup que les masques ?



Si elles ne sont pas la panacée en cas d’accident nucléaire, les pastilles d’iode peuvent limiter un peu la casse chez les enfants notamment. Actuellement il est impossible d’en trouver chez son pharmacien ? Est-ce l’état qui achète tout et reconstitue des stocks. Quel est l’état des stocks ? impossible de le savoir même pour un parlementaire :https://www.publicsenat.fr/article/politique/nucleaire-la-france-a-t-elle-assez-de-comprimes-d-iode-en-cas-de-nuage-radioactif


 

Les messages se multiplient dans la presse pour dénoncer cette ruée inutile en rappelant qu’en cas de problème comme dit Darmanin, ça va bien se passer. Il n’y a plus de boite dans les pharmacies à vendre.
https://www.lejdc.fr/nevers-58000/actualites/guerre-en-ukraine-l-inutile-ruee-sur-les-pastilles-d-iode_14095938/

Bientôt, ne vont-ils pas nous dire : « cela n’est pas franchement utile en cas d’accident, cela peut être dangereux » Le même coup que les masques?

Pourtant nous pouvons nous interroger sur l’accès pour la population à ces pilules en cas d’accident en France ou en Europe. Deux paramètres semblent sortir du calcul des autorités:

Le rayon de 20 Km autour d’un accident nucléaire est notoirement trop faible, le risque est bien plus élevé en tache de léopard comme sur cette vidéo et difficile à prévoir.

Il faut 48 heures pour que la tyroïde soit saturé et que les pastilles soient efficaces.

https://www.sortirdunucleaire.org/iode2019

https://www.sortirdunucleaire.org/IMG/mp4/170121_bugey_fr_2.mp4

 Vu toutes les contraintes pouvant subvenir le jour d’un accident qui ne sera pas un jour comme les autres : panique, désorganisation, problème de communication, il nous semble bien préférable de :

-          Distribuer à chaque personne/foyer une boite de pastilles d’iode en France

-          De faire des réserves dans chaque pharmacie.

Comme pour les masques, il faut rappeler qu’il ne s’agit pas d’envoyer une fusée sur la lune, il s’agit d’un produit bon marché (5 € la boite). Un pays comme le nôtre peut le faire. C’est même à la porter de chacun si vous souhaiter en réaliser vous-même.

https://nopanic.fr/fabriquer-comprimes-iode/

Nous pourrions aller plus loin dans la préparation. Cela ne semble pas relever du fantasme catastrophique :

-         - La guerre en Ukraine avec des réacteurs sous pavillon Russe qui deviennent des enjeux de guerre dont nous ne savons pas grand-chose de rassurants: centrales tournants sur groupes électrogènes.

-     -     L’état très vieillissant de nos centrales nucléaires, ou nous voyons avec effarements un directeur technique démissionné à cause de mensonges sur les incidents et l’état de la centrale

Nous devons préparer la population en cas d’accident nucléaire et lui apprendre les gestes barrières à la contamination : rester chez soi, boucher les VMC, ne pas boire de lait etc.
Si nous ne le faisons pas est que « Préparer c’est affoler ? », « dire l’état des stocks, c’est affoler ? » Le même coup que les masques ?

 La liste des aliments décontaminant est fournie ici plus bas

Nous invitons tout un chacun à signer la pétition concernant :

1) La transparence totale sur l’état du stock actuel.

2)  la distribution généralisée préventive de pastille d’iode à la population.Autant les avoir

Pétition  https://chng.it/Mfhcg4tDVH

Voici une liste récapitulative des aliments pour essayer de nettoyer la radioactivité:

  • Miso = riche en minéraux et molécules anticancéreuses
  • Algues, Kelp = fer, potassium, iode ainsi que les 56 éléments terrestres et marins, alginate de sodium
  • Graine de tournesol, pomme et soja = pectine
  • Céréales, fruits et légumes = fibres, phytates
  • Aliments crus alcalinisent l’organisme et ont un effet détoxiquant général.
  • Végétaux contenant du soufre = soufre, cystéine (Brocoli, chou, chou-fleur et radis)
  • Pollen = B6, B12, inositol, acide folique, ARN, ADN…
  • Les aliments contenant de la chlorophylle
  • Les betteraves
  • Ail, ginseng et oignon protègent des mutagénèses, riches en sélénium, effet oxydant
  • Algue bleu-vert protège du krypton-85, césium-137
  • Ginseng sibérien = Adaptogène, double l’espérance de vie des rats après exposition aux radiations
  • Créosotier (Larrea tridentata) = Puissant anti-oxydant