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jeudi 8 septembre 2016

La voiture tue 1000 fois plus que les attentats, les fanatiques de la voiture sont des criminels

Certes mais les fanatiques religieux ne servent pas a nous déplacer. Si on remplaçait la voiture par le train et le bus, non seulement nous économiserions beaucoup d'énergie et d'argent mais aussi un million de morts par an !

Morts sur la route en Franc en 1972 : 18 000.
Morts sur la route dans le monde en 2013 : 1 250 000
            85 000 en Europe. Record de 250 000 en Afrique.
            Un sur deux est piéton;
            Un sur deux est sur un deux-roues; et
            Un sur deux est âgé de moins de 45 ans.
La circulation est la première cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 29 ans.
Cette mortalité coûte 3% du PIB.
50 millions de bléssé par an.
Si on rajoute les 3 millions de morts du a la pollution automobile  !!!
 

Vers l’automobile immobile
A Paris en 2004, la vitesse moyenne de l’automobile est restée stable autour de 16,6 km/h .
Au sein des agglomérations françaises, la vitesse moyenne des voitures oscille entre 15 et 20 km/h, soit à peu près la vitesse moyenne d’un vélo !
Un article de presse relate même une expérience intéressante qui montre que le vélo peut être plus rapide que l’automobile en milieu urbain. Une compétition s’est déroulée entre un automobiliste et un cycliste: l’un comme l’autre devaient rallier huit points de la ville d’Antony, sans chercher à aller le plus vite possible. Tous deux sont partis un dimanche matin à 10h30, c’est-à-dire en-dehors des heures de pointe qui auraient pu pénaliser encore plus l’automobile.
Le cycliste a réalisé le parcours prévu en une heure et la voiture l’a rejoint 25 minutes plus tard… Malgré des passages sans feux et sans place de parking à chercher, il n’a pas été possible pour la voiture de rattraper son retard, le vent ayant de plus handicapé le cycliste.
Il s’agit en outre de vitesse moyenne en condition réelle de circulation. Mais, la vitesse automobile peut être calculée tout autrement, en prenant en compte l’ensemble du temps humain nécessaire pour faire rouler une voiture, et en particulier le temps de travail nécessaire pour payer son automobile, les frais, les taxes, l’essence, l’assurance, etc.
Ivan Illich a réalisé ce calcul et montre ainsi qu’un Américain moyen consacrait, au début des années 70, plus de mille six cents heures par an à sa voiture , que ce soit en roulant ou en travaillant pour la payer. S’il exerce une activité professionnelle, l’Américain moyen dépense ainsi mille six cents heures chaque année pour parcourir dix mille kilomètres; cela représente une vitesse moyenne d’environ 6 km/h, soit à peine plus que la vitesse moyenne d’un piéton (4 à 5 km/h).
Ivan Illich a ainsi défini le concept de vitesse généralisée, compris ici comme le rapport de la distance parcourue au temps que l’on met à la parcourir. Cette définition n’a rien de révolutionnaire, sauf que dans le «temps que l’on met à la parcourir» il y a le temps effectif du déplacement et le temps que l’on passe à se donner les moyens du déplacement.
Alain Vaillant a formalisé cette notion de vitesse généralisée, qui traduit le fait que la vitesse moyenne de l’automobile dépend du type de véhicule et du revenu moyen du possesseur de ce véhicule.
Certes, les chiffres d’Illich sont déjà anciens (1973) et concernent les Etats-Unis. Mais, Denis Cheynet, dans « Automobile et décroissance », a réalisé une actualisation de ces données et une adaptation à la situation française, basée sur une estimation de la vitesse généralisée de l’automobile .
Sur la base des chiffres officiels du Ministère de l’Equipement, il est possible de montrer qu’à 50 km/h de moyenne au compteur, la vitesse réelle d’une automobile est en fait identique à la vitesse instantanée d’un vélo (environ 16 km/h). Plus étonnant, même en roulant à une vitesse infinie, un automobiliste ne se déplacerait réellement jamais à plus de 25 km/h de vitesse réelle (incorporant l’ensemble du temps nécessaire à l’acquisition et l’entretien de l’automobile).
En outre, les coûts pris en compte ici ne tiennent pas compte des coûts environnementaux de l’automobile (guerres, marées noires, pollution atmosphérique, etc.).
Pour conclure, citons l’Encyclopédie des nuisances : « comme dans toutes les religions, ce qui compte c’est le rite et non le résultat, sinon celle-ci se serait déjà effondrée devant cette simple constatation: la vitesse de déplacement moyenne du citadin motorisé est de l’ordre du double de celle d’un piéton, mais si l’on ajoute à ce temps de déplacement, le temps socialement nécessaire à produire ce qui le permet, on arrive à une vitesse globale moyenne de déplacement nettement inférieure à celle de l’homme du paléolithique. Un tel résultat objectivement dérisoire devrait légitimement troubler l’usager et le planificateur si une quelconque objectivité constituait un critère de jugement dans cette société. On sait qu’il n’en est rien. Et ce qui pourrait prêter seulement à sourire devient moins drôle quand on constate que pour en arriver là, il a fallu bouleverser de fond en comble le territoire urbain et rural. »
Marcel Robert, CarFree Editions, septembre 2005


Conférence Mobilité, Technique et Développement... par Master_HCEAI

mardi 5 juillet 2016

Carte des chemins de fer 1910 - conduire tue - BOIRE OU CONDUIRE

Alors que l'on annonce que la pollution de l'air tue plus que toutes les guerres:
ujourd'hui, la pollution de l'air est devenu le principal risque environnemental pour la santé dans le monde, tuant plus de 7 millions de personnes chaque année...

Les précédentes estimations sur la mortalité engendrée par la pollution atmosphérique faisaient état de 2,3 millions de décès dans le monde dont 400 000 en Europe et 40 000 en France, selon l'OMS, la Commission Européenne et le Ministère du Développement Durable français. Dans les villes d'Asie, la Commission Economique et Sociale pour l'Asie et le Pacifique (CESAP), considère que la pollution atmosphérique est responsable de près de 500 000 décès prématurés. Des données revues fortement à la hausse par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui indique que près de 7 millions de personnes sont décédées prématurément en 2012 – une sur huit au niveau mondial – du fait de l'exposition à la pollution de l'air. Ces nouvelles estimations représentent plus du double des données précédentes et confirment que la pollution de l'air est désormais le principal risque environnemental pour la santé dans le monde.
Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/3977-morts-pollution-atmospherique

Aujourd'hui, la pollution de l'air est devenu le principal risque environnemental pour la santé dans le monde, tuant plus de 7 millions de personnes chaque année... 

La voiture est la principale coupable, les constructeurs trichent  sur les normes sous le regard complices des gouvernements.
Deux fois plus que l'alcool à 3 millions:
http://www.lemonde.fr/sante/article/2014/05/12/l-alcool-a-cause-la-mort-de-plus-de-3-millions-de-personnes-en-2012_4415537_1651302.html 
Paris interdit les vieux diesels !

Le covoiturage c'est écologique, c'est du bla-bla !

Les voitures tuent plus que les guerres dans le monde

Un petit rappel que le choix automobile n'était pas obligatoire, le réseau  de transports collectif existait en 1945. Moins chers, plus économes en énergie (10 fois moins), plus rapides si on compte tout (temps passé à payer le transport), 10 fois moins cher en investissements et en espaces.



Ce choix rationnel a été piétiné par la vision des fanatiques de la machine et surtout voulu pour le profit des capitalistes vu la consommation engendré en énergie, acier et espace de la voiture !

Notre de dame des landes est un projet automobile et d’accaparement d'espaces pour tirer une rente d'un monopole: l'espace autour de l'aéroport. Le but est de lotir et construire. Peu leur importe que la piste d’atterrissage soit plus grande, le problème n'est pas là, le tout est de mettre la main sur 2000 ha et de massacrer un espace naturel.
Construire une rente privée avec de l'argent public, vieux trucs des capitalistes français !

Alors que l'air que nous respirons a été classé comme un cancérogène certain par le Centre International de Recherche sur le Cancer[1], l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) vient de publier de nouvelles estimations catastrophiques sur la mortalité engendrée par ce fléau directement imputable aux activités humaines. Aujourd'hui, la pollution de l'air est devenu le principal risque environnemental pour la santé dans le monde, tuant plus de 7 millions de personnes chaque année...

Les précédentes estimations sur la mortalité engendrée par la pollution atmosphérique faisaient état de 2,3 millions de décès dans le monde dont 400 000 en Europe et 40 000 en France, selon l'OMS, la Commission Européenne et le Ministère du Développement Durable français. Dans les villes d'Asie, la Commission Economique et Sociale pour l'Asie et le Pacifique (CESAP), considère que la pollution atmosphérique est responsable de près de 500 000 décès prématurés. Des données revues fortement à la hausse par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui indique que près de 7 millions de personnes sont décédées prématurément en 2012 – une sur huit au niveau mondial – du fait de l'exposition à la pollution de l'air. Ces nouvelles estimations représentent plus du double des données précédentes et confirment que la pollution de l'air est désormais le principal risque environnemental pour la santé dans le monde.

Les pays à revenus faibles ou intermédiaires des Régions OMS de l'Asie du Sud-Est et du Pacifique occidental sont ceux qui ont enregistré la charge la plus lourde liée à la pollution de l'air en 2012, avec un total de 5,1 millions de morts. Notons qu'en Europe, la pollution de l'air tue près de 600 000 personnes, rapportée au nombre d'habitants c'est plus de trois fois la mortalité enregistrée en Amérique du Nord.
Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/3977-morts-pollution-atmospherique

jeudi 16 juin 2016

Le covoiturage c'est écologique, cest du bla-bla !

Effet rebond: le co-voiturage c'est plus de voiture et la mort des trains !

10 % du covoiturage est du voyage pro. Le reste de la visite ou du tourisme.
Le covoiturage favorise la voiture en la rendant encore moins chere. 
Effet rebond assuré.

Le train est cher car peu fréquenté, plus il est cher moins il est fréquenté.
Faire circuler des trains vides, subventionnés à mort et faire payer très cher l'utilisateur, il fallait le penser !
Les TER vont disparaitre, le règne de la voiture et son cortège de lotissements, zone commerciale et rond-point étant son emprise. La mobilité pas cher, l'ultra-mobilité à trouver sa bonne conscience: le co-voiturage.
1 milliards de voitures dans le monde !
Des trains vides et des voitures pleines ! 
Un train plein consomme 10 fois moins d'énergie qu'une voiture pleine ! 
Certes partager sa voiture est une bonne idée, mais dans un monde parfait, l'essence serait à 2.5 € le litre et fortement taxé et le train 10 fois moins cher que la voiture, ainsi on ferait beaucoup de co-trainurage.


http://www.atlantico.fr/rdv/atlantico-green/paradoxe-covoiturage-comment-mode-trajet-economique-et-ecologique-finit-augmenter-trafic-routier-blablacar-herve-marchal-2729767.html/page/0/1