La terre se réchauffe dit on, en temps que planète, mais pour être exacte, les océans et l’atmosphère se réchauffent. Et l'essentiel du réchauffement est absorbé par les océans, et parfois l'océan voit son refroidissement se coince (el nino) et accélèrent le réchauffement.
Un peu de fiction:
"Il faut dire que les JO 2030 se passent comme les JO 2024 , sous le haut patronage du phénomène El Niño, l'exacerbeur du réchauffement. Ce phénomène climatique de relâchement massif de chaleur de l’océan dans l’atmosphère arrive régulièrement, en moyenne tous les 6 ans depuis très longtemps. Mais depuis 2024, son retour est craint. La température franchit de nouveaux records. Le régime des pluies devient extravagant. Les JO 2024 avaient suffoqué sous la chaleur et rendu la compétition abasourdie par la température. Seuls les records météorologiques avaient été battus en rendant la fête bien morne. Le retour du phénomène en 2030 avait causé les mêmes effets catastrophiques en pire, difficile de faire de la neige artificielle sans gel. Les photos de sportifs pataugeant dans la boue mélangée à la neige fut le choc, la présence à chaque compétition de la boue fut l’aspect marquant, symbolisant la saleté de ces dépenses dans un monde qui franchit toutes les limites. La bêtise d’organiser ces jeux, une évidence, une indécence face à un climat qui s’emballe et l'austérité budgétaire. D’autant plus que l’écologie est le dernier souci des climatosceptiques qui gouvernent. Face à un climat qui s’emballe, ils n’ont pas cent balles, mais pour jeux olympiques ils ont des milliards ». Affichait un tag. Un autre disait, « JO : mourir de boues, et vivre à genou » ou "JO 2030 ALPES: SKIER DE BOUES ET SERVICES PUBLICS A GENOU"
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