Effet rebond: le co-voiturage c'est plus de voiture et la mort des trains !
10 % du covoiturage est du voyage pro. Le reste de la visite ou du tourisme.
Le covoiturage favorise la voiture en la rendant encore moins chere.
Effet rebond assuré.
Le train est cher car peu fréquenté, plus il est cher moins il est fréquenté.
Faire circuler des trains vides, subventionnés à mort et faire payer très cher l'utilisateur, il fallait le penser !
Les TER vont disparaitre, le règne de la voiture et son cortège de lotissements, zone commerciale et rond-point étant son emprise. La mobilité pas cher, l'ultra-mobilité à trouver sa bonne conscience: le co-voiturage.
1 milliards de voitures dans le monde !
Des trains vides et des voitures pleines !
Un train plein consomme 10 fois moins d'énergie qu'une voiture pleine !
Certes partager sa voiture est une bonne idée, mais dans un monde parfait, l'essence serait à 2.5 € le litre et fortement taxé et le train 10 fois moins cher que la voiture, ainsi on ferait beaucoup de co-trainurage.
http://www.atlantico.fr/rdv/atlantico-green/paradoxe-covoiturage-comment-mode-trajet-economique-et-ecologique-finit-augmenter-trafic-routier-blablacar-herve-marchal-2729767.html/page/0/1
Le plan de protection de l’atmosphère
Dans la Vallée de
l’Arve, un plan de protection de l’atmosphère (PPA), a été
approuvé par arrêté préfectoral le 16 février 2012. Il identifie la
combustion de biomasse, les transports et l’industrie comme sources
locales principales de la pollution atmosphérique dans la vallée.
Entre autres, les appareils de chauffage au bois individuels peu
performants et les foyers ouverts sont de gros émetteurs de particules
fines. Le PPA de la Vallée de l'Arve couvre 41 communes dont
28 sont classées comme « communes sensibles » à la qualité de
l'air. Il s'étend de la basse Vallée de l'Arve à Chamonix et concerne
plus de 150 000 habitants.
En effet, de nombreux dépassements
des normes en vigueur sont constatés depuis plusieurs années
pour plusieurs polluants. Des dépassements de la valeur limite
PM10 ont même déjà atteint le seuil d’alerte sur Passy ; des
dépassements de la valeur cible pour le benzo(a)pyrène à Passy
; des dépassements de la valeur limite pour le dioyde d’azote à St
Gervais les Bains et du seuil d’information et de recommandations à
Chamonix ; des dépassements de la valeur cible des niveaux d’ozone… Ce
plan d’actions est destiné à réduire la pollution de fond en agissant
notamment sur la situation préoccupante des particules fines (PM10).
Le
plan porte donc ses efforts sur les trois principaux émetteurs de cette
pollution : le secteur résidentiel (61% des PM10, dont 90% dus au
chauffage domestique), le secteur des transports (23% des PM10, 3/4 des
oxydes d’azote) et le secteur industriel (12% des PM10).
Depuis
l’approbation du PPA, des actions ont été engagées pour les
trois principaux émetteurs de pollution aux particules fines. Les
actions les plus significatives ont été prises dans le secteur
résidentiel avec un cadre réglementaire presque abouti
aujourd’hui. Le principe est d’imposer une valeur limite
d’émission aux installations de chauffage au bois. Les nouvelles
installations et les installations d’un bien mis en vente doivent
désormais respecter ces normes.