Les chemins qui mènent à la spiritualité contemporaine sont nombreux. La
pratique du yoga, du Qi Gong ou de la méditation, les soins
énergétiques, le souci d’une alimentation saine ou encore le
développement personnel en sont quelques exemples. Mais le moment de
bascule, dans un sentiment d’appartenance au grand Tout, de
transcendance, de joie intense, sans mot pour le décrire, peut se
produire au contact de la nature. De cette rencontre personnelle et
intime avec le vivant peut naître une spiritualité écologique ou une
écologie spirituelle.
Tant que les chantiers continuent, tant que le gouvernement, inféodé aux lobbies et multinationales de l’agro-chimie
se refuse à un moratoire, tant que la question du partage de l’eau ne
sera pas remise au cœur du débat, le mouvement va devoir encore se
renforcer. Nous appelons donc à une manifestation internationale
anti-bassines le 25 mars prochain dans le Poitou-Charentes
Le mot pénurie est revenu dans le langage journalistique, il avait disparu.
Pour les chômeurs les journalistes ne parlent jamais de pénurie de travail mais
du chômage de la personne, le choix n’est pas rien, dans un cas c’est une
fatalité (y’a pénurie), dans le second il est facile de vite sous-entendre une
responsabilité au chômeur. Ce mot « pénurie » est revenu à la mode,
il s’applique maintenant à l'énergie ou à l'alimentation mais curieusement pas
encore au logement, on va parler de mal logement de problème de logement, en
cas de famine on parlera de problème de pain. Pourtant le problème du logement
est tout simplement une pénurie de logement et elle se fait de plus en plus
criante pour les classes précaires. Ici dans les Hautes Alpes, elle devient
aiguë, grave, inouï, il n’y plus rien à louer pour les popu (Voir article
« Les Alpes ne peuvent accueillir toute la richesse du monde » il y a
un an). Face à la flambée spéculative, la réponse rapide des pouvoirs publics (l’état
et les collectivités locales) devrait être : « accélérons la construction
du logement social ». Ce fut dans l’histoire la réponse même sous des
gouvernements de droite. Mais sous un gouvernement d’extrême-pognon en pleine
pénurie de toit, le logement social est tout simplement mis à mal, il est en déconfiture,
il est même atomisé !
Nous avions alerté, il y a quelques années des conséquences des premières
mesures de Macron 1er:
- le prélèvement de 1.3 milliards € sur les offices HLM,
- doublement de la TVA sur la construction social,
- mais surtout le plus pernicieux, la volonté de Macron de favoriser un de ces
plus gros sponsors : les offices d’HLM privés.
Issus du monde socialiste comme lui, ils ont commencé à gauche, proche du pouvoir
pour faire fortune en bradant des biens publics, (définition du mot oligarques).
Cette privatisation rampante, est des plus pernicieuse en dévoyant des outils
sociaux : les HLM privés. Mais des HLM publics résistaient, outils de
gestion local puissants, ils permettent de loger les précaires. Beaucoup d’élus
de gauche mais aussi de droite rechignaient à les brader.
Macron poussent les offices HLM à se regrouper avec la loi ELAN. L'état à
favorise les HLM privés (en français technocratique les Entreprises Sociales de
l’Habitat) au détriment des HLM dirigés par les élus locaux. Une
recentralisation de la gestion du logement. Ces offices HLM privés louent selon
des critères sociaux mais ils ont un bilan social très mauvais: leur vrai objectif
est de faire du fric et des gros salaires à leurs dirigeants. Pour cela ils montent
les prix des locations au plus haut du plafond sociaux, excluent de la location
les précaires, vendent les beaux morceaux du parc au prix fort. Autre effet des
volontés marconistes, la vente d'HLM. Macron l’a favorisé et simplifié.
Avec une tel politique Macron oblige es offices HLM a se refaire en vendant,
certains en abuse et réduisent le parc. Les offices privés ont pris gout à
revendre dans les zones ou les prix sont stratosphériques comme ici en montagne
à ski. Et ici on a plus la main sur ces décisions. Ainsi s’amplifie l'exclusion
sociale de ces zones: on peut parler d'épuration sociale, comme je l'ai fait
ici. Ici dans le nord du département 05 nous avons vu les prix immobiliers
montée en flèche. Un office d’hlm du nord 05 était communale et ses loyers
assuraient aux saisonniers précaires des appartements bon marché. Il a été
bradé à un office privé. Conséquence les loyers ont doublés en 10 ans, les
précaires sont refusés systématiquement pour les nouveaux arrivants. Certaines
classes moyennes trouvant la location privée trop cher et ne pouvant plus
acheter des biens, devenues stratosphériques, c'est rabattu sur ces immeubles. Dernière
étape à ce démantèlement du parc bon marché, leur revente. Dans un nombre
important d'immeubles, nous voyons les départs des locataires sans remplacement
et laisser vides. Il s’agit de les vider pour les revendre au prix fort du
marché débarrassé des gueux
Bien que le problème du logement soit un gros souci pour l'électorat de
gauche, il n’intéresse peu leur représentant à quelques exceptions près. Il
sera curieux de savoir combien d’élus, de députés de gauche sont locataires,
nous avons un indice : la gauche a élus 6 ouvriers à l’assemblée en tout
est pour tout. Pas d'offensive médiatique, pas de clash à l’assemblée de sur ce
sujet. Pourtant pour redonner du pouvoir d'achat aux moins fortunées, il est
indispensable de s'attaquer à ce qui représente un tiers de leur dépense. La
baisse de l’immobilier est bien meilleure pour lutter contre l’inflation que la
baisse du prix de l’essence, c’est une excellente solution. Un vrai combat de
classe. En effet, une grosse partie des classes supérieures ont décidées
d'investir leur patrimoine dans l'immobilier. L'état défiscalise, favorise, la
rente est bonne et sur, elle est même bien vu. Ainsi chaque année un transfert
de plusieurs milliards se fait des classes pauvres aux classes aisées. Et
depuis des décennies, l’année suivante est pire que la précédente. Actuellement,
un bien qui dure 40 ans peut être payé par le locataire en 15 ans. Et malgré
cette rente le parc locatif est en mauvais état. En effet, les classes aisées
confondent souvent chiffre d’affaires et bénéfices. Rénover ou même simplement entretenir
n'est pas leur priorité, les biens doivent cracher du revenu ! Ce que rapporte
un bien n’est pas réinvesti dans celui-ci. Résultat les logements sont mal
entretenus et surtout peu isolés. Fait aggravant la politique d'aide à la rénovation
ou au déploiement des énergies solaires est quasi exclusivement tourné vers les
propriétaires. Moralité, nous voyons les classes aisées investirent fortement
dans l'isolation et la production électrique pour leur logement et rarement
dans les logements qu’elles louent. Les propriétaires sont aidées par l'état, via
l'argent prélevées sur les factures d'énergies (CEE) de tous les consommateurs.
Cet argent va des moins riches aux plus aisés. Pendant ce temps les locations continuent
de flamber comme les factures d'énergie pour les modestes. "Les riches
s'est fait pour être très riche et les pauvres très très pauvre" disait
Louis de Funes, ministre du roi en piquant des impôts à des paysans en pleine
disette…
Le manque de construction sociale, s'explique aussi par la volonté de
nombreux élus de ne pas accueillir ce type de logements dans leur commune. Nous
avons vu ici un projet de logements sociaux haut de gamme, lever des masses
d'hurlements. Les riches propriétaires d'un village ne voulaient pas de ces populations
car pour eux « HLM= CAS SOCE ».
Pourtant ils ne devraient pas trop s'inquiéter, le financement des logements
sociaux vient de la collecte d'argent populaires, les livrets A. Les Français en
ont des bien garnies (500 milliards). Un tiers seulement sert à financer le
logement social. Avec un taux sur le livret qui monte à 3 %/an, c'est une
facture de 3 milliards en plus pour les HLM. Moralité leur construction
devraient encore ralentir. Depuis 10 ans, à la suite du ralentissement de la
construction sociale et la montée de l’épargne, ils existent des milliards en surplus.
Le gouvernement Sarkozy a discrètement réorienté cet argent vers les actions,
les prêts à l'état et financements divers et variés. Ici, il sert a financer
les stations de ski, de parkings souterrains occupés deux mois par an et la construction
de logements de station qui finissent inévitablement vides et froids, nous les appelons
les lits froids. Ces milliards viennent d'être promis à financer le tonneau des
danaïdes qui s'appelle ERP 2 car aucun privé ne veut investir dedans,
contrairement aux renouvelables (qui ne marchent pas d’après l’extrême droite).
En effet la construction d'un nouveau parc de centrale nucléaire va couter cher,
bonbon, un bras et deux yeux. Le film EPR 1 était l'histoire d'un fiasco
totale, le drame de l'incompétence et de la corruption, le film EPR 2 va être
une suite encore plus grandiose, n'en doutons pas. En plein réchauffement nous
allons les installés sur des bords de mers montant dramatiquement vite ou sur
des fleuves à secs. Ils doivent produire dans 15 ans un joli trou dans les finances,
trou qui sera lui durable.
Macron atomise donc le logement social, il l'a ruiné dans l'indifférence, de
la gauche dont quasi aucun représentant vit dedans, il a créé un numérus clausus
social. Pour y accéder il faudra être de plus en plus dans la mouise. La trop
forte accumulation de problèmes dans un immeuble, n'a jamais fait des bonnes ambiances
de voisinage, seuls ceux qui n’y ont pas vécu peuvent dire le contraire. Ces problèmes
inévitables seront exploités par tous les grandes gueules réactionnaires pour clamer
leur refus de construction.
Ce numerus clausus sociale fera au logement ce qui a fait à la médecine
générale, une pénurie généralisée. La différence est qu'elle ne touchera pas
les plus aisés. Ils sortiront gagnant, ils menaceront de ne plus louer leurs
épaves thermiques si l'argent des impôts qu’il honnissent ne financent pas tous
les travaux de rénovations. Normal pour eux, le loyer égale bénéfice.
Ici l'annonce de la candidature des JO 2034 est le pompon sur le problème. Les
prix de 8000 €/m2 du tout nord du département va contaminer le reste du coin.
Financer par des milliards d'argent public, les JO sont l'occasion d’une grande
montée les prix de l'immobilier et d’une grosse coulée de béton.
Les plus aisées sont les gagnants de l'atomisation du logement social, ils
l’ont pas réélu pour rien, il a inventé la sécurité des bénefs par l’impôt et
l’immobilier rentier garantie par le numérus clausus social. Mais dans les cas
caricaturaux comme chez nous, ils prennent le risque de souffrir d'une pénurie très
grave pour eux, ces grands assistés, la pénurie de bonniches, de Nou Nou,
d'aides au vieux, de jardiniers, de livreurs, de cuistots, de serveurs, de
nettoyeurs, de bricoleurs …. Même leurs coachs de vie risquent d’avoir des
soucis.
A quoi penseront ces vieux riches dans quelques années dans leur maisons
immenses et vides, attendant l'aide a domicile qui vient pas, que décidément
comme dit la chaine de télé CNAZE : les pauvres sont des fainéants et leur
couper le chômage est une nécessité.
LA
RÉGION PACA CANDIDATE POUR LES JEUX OLYMPIQUES D'HIVER 2034 : C'EST MAINTENANT
QU'IL FAUT LUTTER !
Renaud Muselier réaffirme
sa volonté de voir les Jeux Olypiques d’hiver se tenir dans la région PACA en
2034. Une décision qui serait catastrophique sous plusieurs regards. Mais rien
n’est écrit : la lutte contre les jeux peut encore être gagnée !
Début janvier 2023, le président de la région PACA Renaud Muselier
réitérait son intention de candidater aux Jeux Olympiques et Paralympiques
(JOP) d'hiver 2034 ou 2038[1].
Il l'avait déjà exprimé un an plus tôt, également à l'occasion de sa conférence
des vœux à la presse. Des discussions semblent être en cours entre le Comité
National Olympique et Sportif Français (CNOSF) et la région.
Si les Alpes du Sud accueillent réellement les Jeux Olympiques et
Paralympiques dans dix ans, c’est une catastrophe sociale, écologique et
démocratique qui se prépare pour la région. Et le problème, c’est que c’est
possible…
De moins en moins de territoires souhaitent accueillir les Jeux d’hiver, à
tel point que le Comité International Olympique (CIO, organisation mafieuse
digne de la FIFA) a repoussé d’un an la date limite des candidatures pour les
JOP 2030. Étaient en lice : Sapporo, Salt Lake City et Vancouver. Sauf que
le Japon est en plein scandale de corruption lié aux JOP d’été 2021, et la
ville de Sapporo, sous la pression populaire, a préféré « geler » sa
candidature pour le moment. Vancouver s’est retiré il y a quelques semaines,
suite au veto du ministère du Tourisme, de la Culture et des Sports de Colombie
Britannique : cela coûterait trop cher à la région[2].
Salt Lake City n’est pas une candidate idéale pour le United States Olympic and
Paralympic Committee, car les JOP
seraient organisés deux fois de suite aux États-Unis (après Los Angeles en
2028). Le 8 février dernier, la Suède a fait savoir qu’elle envisageait une
candidature, mais ce projet reste incertain[3].
La réticence de plus en plus grande des régions à accueillir les JOP
d’hiver est une bonne nouvelle pour le mouvement international anti-olympique[4],
mais pas pour la région PACA, qui risque bel et bien de devenir ville hôte des
JOP d’hiver tant les candidates se font de plus en plus rares. D’autant plus
que le CIO commence pour la première fois à évoquer l’idée d’une
« rotation » des Jeux Olympiques d'hiver au sein d’un nombre
restreint de régions hôtes, qui devraient avoir « des conditions climatiques
fiables »[5] :
les Alpes du Sud pourraient alors devenir l’un des lieux privilégiés des Jeux
d’hiver…
QUELLES SERAIENT LES CONSÉQUENCES DES JOP EN RÉGION PACA ?
La candidature de Paris aux JOP 2024 a été entouré de tout un discours sur
les Jeux « les plus verts de l’histoire », léguant un « héritage
social » pour les habitant-es de Seine-Saint-Denis. Ce social- et
green-washing se répétera sans doute pour la candidature de PACA. Mais un
évènement d’une telle ampleur, impliquant des investissements publics et privés
aussi massifs, provoque des saccages sociaux, écologiques et démocratiques
irréductibles.
En termes de budget public, les JOP n’ont jamais été et ne seront jamais
bénéfiques. Après les Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver d’Albertville en
1992, la ville a connu un grand déficit budgétaire (le budget des JOP est passé
de 3 milliards prévus à 12 milliards de francs). La politique d’austérité qu’a
connu la ville les vingt années suivantes a provoqué des fermetures de services
publics et une hausse de la taxe d’habitation de 40 %. Accueillir les JOP
d’hiver coûte extrêmement cher au territoire-hôte, et il faut croire fermement
à la théorie du « ruissellement » pour défendre l’idée d’un
développement économique pour les habitant-es. Albertville en tout cas l’attend
toujours…
Les JOP seront l’occasion de « moderniser » les infrastructures
touristiques de la région. Il s’agit là d’un type de modernisation à taille
olympique, qui accapare les terres et les ressources, souvent au détriment des
populations locales les plus précaires, pour un usage limité aux quatre
semaines des Jeux ou au mieux réinvesti partiellement pour le loisir des
élites. Les Jeux d’hiver impliquent aussi la construction de voies routières
pour relier les infrastructures entre elles, voire de nouvelles lignes de train
à grande vitesse ou même des aéroports (c’est le souhait par exemple de
l’actuelle ministre du tourisme italienne Daniela Santanché pour les prochains
Jeux d’hiver à Cortina[6]).
Pour ce qui est des sites sportifs, les JOP d’hiver impliquent
nécessairement de nouvelles constructions, même si la région PACA en a déjà
quelques unes. La piste de bobsleigh, les tremplins à ski, la patinoire
olympique, font par exemple partie des constructions incontournables et
particulièrement polluantes. Pour beaucoup d’anciennes villes hôtes, ces
infrastructures sont devenues des « éléphants blancs », des
constructions démesurées devenues inutiles et ayant détruit, bétonné et pollué
d’immenses pans de montagne. Et c’est sans parler des dégâts écologiques qui
vont avec : la neige artificielle (à Pékin en 2022, les athlètes ont skié
sur une neige à 100 % artificielle), les produits chimiques pour le
bobsleigh…
Il faut savoir aussi que les JOP permettent de déroger au droit commun sur
les projets d’urbanisme.L’accueil des
JO nécessite l’adoption de la loi olympique par le pays hôte pour ensuite
signer le contrat ville hôte avec le CIO. Celle-ci implique que les
constructions estampillées olympiques pourront être mises en œuvre en passant
par des procédures accélérées de consultation et de débat public. Les recours
démocratique sur un projet d’urbanisme par les habitant-es devient extrêmement
difficile… C’est donc l’occasion de passer des projets contestés, comme le
prolongement de l’Autoroute entre Grenoble et Sisteron.
Enfin, les JOP sont toujours l’occasion d’un bond en avant en termes de
déploiement sécuritaire sur le territoire. Et évidemment, les transformations
législatives et technologiques initiées pour les JOP restent après l’évènement…
Au Japon, la reconnaissance faciale a pu être autorisée grâce aux JOP de Tokyo
prévus en 2020. En France, la loi Sécurité Globale et la loi Olympique 2 sont
dans le même sillage : il faut autoriser « l’expérimentation »
de technologies sécuritaires sur le territoire en amont de 2024, pour qu’elles
soient techniquement prêtes et juridiquement approuvées pour les Jeux. Pour les
industries des technologies sécuritaires, les JO sont une vitrine pour leurs
jou-jous à l’international. Pour les villes, c’est l’occasion inespérée d’un
quadrillage plus serré des espaces publics (la ville de Saint Denis passe de 90
à 400 caméras de surveillance pour 2024).
Il est possible de lutter contre l’arrivée Jeux Olympiques et
Paralympiques, et de gagner. Par contre, ces victoires ont toujours eu lieu avant que la ville ou la région soit
choisie comme hôte, c’est-à-dire pendant la phase de candidatures. Récemment,
des collectifs à Hambourg ont réussi à arrêter la candidature de leur ville aux
JO 2024. Les habitant-es des Pyrénées-Catalognes, de leur côté, ont créé une
mobilisation tellement massive que la région s’est retirée de sa candidature
aux JO d’hiver 2030. Une fois que la région est choisie par le CIO, les luttes
victorieuses existent mais sont difficiles et n’arrêtent pas la machine
(Jardins d’Aubervilliers[7]).
En clair : même si 2034 paraît loin, c’est maintenant qu’il faut
lutter !
Signé SACAGE 2024
PS : si cette lutte vous parle et que vous avez des questions,
n’hésitez pas à contacter le collectif Saccage 2024, en ce moment en lutte
contre la préparation et la tenue des Jeux Olympiques de Paris en 2024 : https://saccage2024.noblogs.org/a-propos. Il y a aussi des collectifs en lutte à
Milan, qui accueille les prochains JO d’hiver en 2026.