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mercredi 21 février 2018

La centrale de gardanne c'est l'EPR du bois



Le 20 FEVRIER 2017
    A CE JOUR QUE RESTE IL DU PROJET INITIAL DU GROUPE 4  DE LA CENTRALE THERMIQUE DE         PROVENCE INITIE PAR « EON UNIPER »    DE NOMBREUX POINTS ONT ETE MODIFIES DEPUIS L'ENQUËTTE PUBLIQUE
A1° Alimentation électrique : La centrale de Provence Groupe 4 au bois devait sauver l'alimentation électrique de La Ville de NICE car cette dernière (voir plan ) est alimentée par la ligne Manosque,Bancairon qui reçoit les centrales hydrauliques de la Durance et indirectement les centrales Nucléaires et hydrauliques du Rhone ainsi que par les extrémités de ligne en passant dans de nombreux postes électriques de Toulon ou Trans.
Il  restait peu de puissance disponible à NICE mais les lignes ne pouvaient pas être surchargées.
A2° Les MEGA WATT heures produits par EON UNIPER sont financés par tous les abonnés qui sur leurs factures ont déjà commencé a financer ces MW/h en 2016 et
2017 dans la rubrique  CSPE qui intègre le financement des fournitures dites vertes.
A3° EDF a construit la ligne 220.000 Volts MANOSQUE  NICE directe dont 80   Kilomètres en souterrain .
Nice est alimenté par deux lignes dont une de sécurité.
A 4° Que va faire EDF de cette Electricité : Gardanne en dehors des périodes froides (hiver ) . Elle va le revendre à 2 € le MW /h à la Bourse d'Electricité alors qu'il va l'acheter obligatoirement entre 20 € leMW/h. (C’est une bonne affaire sauf pour les abonnés à l'électricité).
Le contrat prévoie de fonctionner 11 mois sur douze ?
Personne ne comprend cette fourniture annuelle d'autant que la consommation générale d'électricité baisse à cause des efforts d'économie d’énergie d'une part et d'autre part depuis des années aucun groupe n'a fonctionné en dehors de l'hiver et encore sans parler des grèves.
Voir la carte des lignes électriques du sud est
B 1°Le bois devait à l'origine venir des Bouches du Rhône puis même de PACA environ 200 Kilomètres.
Après Enquête Publique cette distance est passé à 400 Km puis 6000 Km 8000 Km nous ne sommes pas d'accord pour financer les suppléments dues par cette distance
( l' étude de l'approvisionnement du combustible n'a pas été étudiée dès l’origine)B2° Le bois vient des , l'Ardèche , la Lozère , les Pyrénées , le Gard , l'Hérault , Le 
Massif Central etc
Savez-vous qui a planté des arbres dans le Gard et ses environs pour éviter les inondations.
 C'est Napoléon III pour éviter les dégâts de l'eau et le lavage des sols or rien n'est replanté.
Les mêmes effets ont les mêmes résultats, il serait bon de respecter les anciens ?
B3° Lors de Enquête Publique la Centrale G4 devait brûler des granulés densité 0,7soit 700 Kilo par m3 et on est passé aux copeaux densité 0,4 soit 400 Kilo par m3 c’est à dire le double de camions ou tout autre transport et en conséquence le            double de   SO2 , NOX, PM10 , PM2,5, HAP , PCDD:F , COVNM Source CITEPA
Format SECTN AVRIL 2014. 
B4°C’est une catastrophe pour les riverains car il suffit d’examiner les routes autour de la Centrale ,elles sont pleine de Charbon ,de bois et tout cela est broyé par le passage des véhicules  et se dépose de partout.
Depuis longtemps la Centrale devait nettoyer les routes et cela fait longtemps que ce n'est pas fait
C1° Les Poussières : Sujet triste. Il existe un lavage de fumées réglementaire sur la tranche 5 ( 600 MW/h) mais sur la tranche 4 à bois avec beaucoup plus de poussières fines on se contente d’un filtre à manche qui va retenir les poussières à 10 microns et il doit y avoir une injection  d’ammoniac afin de coaguler les fines poussières MAIS ON NOUS A DIT EN CSS QU’IL NE FALLAIT PAS TROUVER D’AMMONIAC DANS LES CENDRES CAR ELLES SERAIENT INVENDABLE  ????
C2°Que croyez-vous qu’il va se passer il y aura le MOINS POSSIBLE d’AMMONIAC et nous aurons des fines poussières de 2,5Micron et plus qui vont s’envoler et nous polluer.
EON UNIPER indique qu’il y aura 90 tonnes par an de poussières fines à la cheminée ????   Il n'y a que EON UNIPER qui va le croire ???
Il serait peut-être utile de compléter sur Gardanne et Meyreuil l'étude épidémiologique de FOS.
Les pollutions de FOS vont jusque à AIX EN PROVENCE GARDANNE MANOSQUE. Une fine brise dégage MARSEILLE
Nous avons aucune confiance dans les données affichées et dans l’exploitation de EON UNIPER d’autant qu’il n’y aura pas de mesure des poussières 2,5 Microns à la cheminée.
C3°La tranche 4 de Provence doit durer VINGT ANS et il n’est pas raisonnable de ne pas installer un lavage des fumées sur cette tranche 4.
Personne ne comprend les décisions prises par les Elites de notre pays et qui autorisent un système bricolé après avoir organisé    LA COP 21.
Ils ne respectent pas la signature mondiale de cette conférence.
La tranche 4 soit disant biomasse, brûle 13% de charbon, du gaz, du fuel et du bois et rejette dans l'atmosphère ( réfrigérants)de la vapeur d'eau 75 à 80% du bois brûlé .
La tranche 4 n'utilisant pas d'origine les soutirages de vapeur, son rendement thermique est de l'ordre de 20 à25 % en tenant compte de tout : camions de bois, charbon, bateaux et tronçonneuses.
D1° Bruit de l’ensemble des deux tranches thermiques de Provence
Nous avons mesuré le bruit de la Centrale à l’arrêt depuis plus de 15 jours , des pompes ou ventilateurs tournaient toujours la mesure donne 39/40 dB.
D2°L’Arrêté portant prescriptions complémentaires sur le bruit indique page 21
lorsque le bruit ambiant est compris entre 35dB et 45 dB l’émergence admissible est de 4dB.
Ce qui autorise 40dB + 4dB =  44 dB maximum les deux tranches en service et à pleine charge
Or nous avons mesuré en façade nord de la centrale en limite de propriété 55dB à 56dB.   On est loin de 44dB
On ne va pas supporter 8 fois l’intensité sonore pendant 20 ans.
Personne ne nous en sera grès.
La Centrale EDF de Martigues Ponteau fait encore des aménagements soit à la centrale soit chez les particuliers pour tenir sa nuisance
D3°Pourquoi ces précisions ?
Actuellement l’entreprise qui effectue les mesures SOLDATA  à 5000 points de mesure sur place, elle fait ces mesures pendant 5 ans et corrige l’ensemble de toutes ces mesure  à la charge moyenne de la charge électrique.
Résultat : on a une moyenne de 5000 mesures sur 5 ans à la charge moyenne ????
Le bruit le plus important est à pleine charge comme pour le bruit des voitures.
D4°Nous demandons que des mesures soient réalisées par des organismes comme l’APAVE ou VERITAS.
E1°   Mise en bourse de UNIPER.
UNIPER a mis en bourse sa société et un FOND de PENSION AMERICAIN est devenu l’actionnaire principale avec un montant dépassant les 50% de UNIPER ?
Qui dirige la Centrale de PROVENCE ?
E2°  Les  français abonnés à l’électricité vont indirectement financer le fond de pension des retraités AMERICAINS ? ? ? Avec tous les aménagements particuliers qui nous pourrissent la vie ?
E3° Nous ne comprenons pas pourquoi l’ADEM fait cadeau de 2 machine pour couper le bois l’écorcer le débrancher. Cout d'une machine 500.000€   l ‘ADEM distribue notre argent pour faire un cadeau de luxe à EON UNIPER FOND DE
PENSION  ? ? ? ?
C' est inutile de dépenser autant d'argent .
Ce sont les propriétaires qui doivent investir
E4° nous avons demandé de participer, en tant que riverain, à la commission
bois CRB et avons demandé de pouvoir accéder  au site du CRB .
Nous attendons toujours depuis UN an .
Nous sommes sûrement aussi incompétents que ceux qui font partie de cette commission mais nous examinons les problèmes en tenant compte de nos intérêts. Ce qui n'est pas le cas de EON UNIPER
Il semble que cette commission ai trouvé une solution pour gérer le bois du très grand sud est ( Ne croyez pas que c’est l’ONF) C’est EON UNIPER FOND DE PENSION.
Moyen en quoi la CERTIFICATION du bois n’est plus un problème puisqu’une Centrale Nucléaire, des terrains de foot ou de grands espaces sans bois peuvent obtenir la CERTIFICATION.
Nous sommes sauvés UNIPER va CERTIFIER tous les arbres disponibles et va devenir le Maître du bois .
Il serait plus raisonnable que ONF fasse ce travail. Ils ne sont pas JUGE ET PARTIE
Il semble que Uniper ait l’autorisation de l’ADEME dont on se demande si l’ADEME est mandaté pour accorder cette autorisation ? ? ?
F1° Zone industrielle.
Monsieur PERROY Secrétaire Général des Houillères de Provence avait proposé en 1980 aux Maires de Gardanne et Meyreuil d’installer une immense zone industrielle sur les deux villes, ce qui a été refusé. I a installé cette zone à Rousset  Peynier.
Plus rien ne ressemble au projet d’origine tout a changé par manque d'études c’est pour cela qu’il faut annuler ce PROJET et revenir à de meilleurs sentiments vis-à-vis des riverains.
ALNP

mercredi 7 février 2018

Nucléaire: la Criirad dénonce des "anomalies" dans la surveillance des aliments

Nucléaire: la Criirad dénonce des "anomalies" dans la surveillance des aliments

 


 La Commission de recherche et d'information indépendante sur la radioactivité (Criirad) a pointé mercredi des "anomalies préoccupantes" dans la surveillance de la contamination des denrées d'origine animale produites en France.
   
  Dans un courrier adressé à la Direction Générale de l'Alimentation (DGAL), l'association créée à Valence au lendemain de la catastrophe de Tchernobyl, juge "bien trop élevés" les seuils utilisés pour décider des suites à donner en cas de détection de produits radioactifs artificiels dans les aliments.
   
 Ces seuils, qui reviennent selon elle à accorder "un permis de polluer" aux installations nucléaires, figurent dans une instruction technique de la DGAL, adressée le 16 janvier aux Directions départementales de la protection des populations (DDPP) et aux Directions régionales de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt. "Mais le problème remonte au moins à 2015", estime la Criirad.

lundi 5 février 2018

La centrâle de Tri-Cas-Craint !

Un petit ajout perso:

LE livret ici: http://du-goudron-et-des-plumes.fr/

Nucléaire : le livre qui met à mal la sûreté des centrales françaises


EXCLUSIF - Le JDD publie en avant-première des extraits de Nucléaire, danger immédiat, un livre d'enquête qui conteste le dogme de la sûreté et de la rentabilité des centrales françaises. Au premier rang des préoccupations : l'état alarmant de plusieurs cuves, qui renferment le cœur des réacteurs.



"Ça y est, nous y sommes. Aux quarante ans. D'ici à 2028, 48 réacteurs [sur 58 en service en France] - ceux du palier de 900 MW et une partie des réacteurs de 1.300 MW - vont atteindre cet âge canonique. Depuis le milieu des années 2000, en raison de ses difficultés financières qui l'empêchent d'investir dans de nouveaux moyens de production, EDF demande, réclame, impose même, que l'ensemble de ses centrales nucléaires soient autorisées à fonctionner au-delà des quarante ans, et prolongées de vingt ans.


[…] [Parmi les éléments qui vont] déterminer la prolongation ou l'arrêt des cuves : ont-elles des malfaçons, d'origine ou apparues avec le temps, qui compromettent la sûreté? C'est l'un des plus grands secrets de l'industrie nucléaire en France. [...] Selon EDF, 10 cuves en exploitation ont des fissures qui datent de leur fabrication.

Un séisme à Tricastin pouvait aller vers "un accident de type Fukushima"


[...] Tricastin, avec son réacteur 1, est la pire centrale du pays. Ce réacteur cumule tous les problèmes : défauts sous revêtement, absence de marge à la rupture, et dépassement des prévisions de fragilisation à quarante ans! Sans oublier le risque d'inondation catastrophique en cas de séisme, comme l'a relevé en septembre 2017 l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui a arrêté d'office le fonctionnement des quatre réacteurs de la centrale en attendant qu'EDF fasse, enfin, les travaux de renforcement de la digue du canal de Donzère-Mondragon. La centrale est en contrebas du canal, à 6 m en dessous du plan d'eau. Pierre-Franck Chevet, le président de l'ASN, nous a confié 'qu'en cas de séisme fort on pourrait aller vers une situation, avec quatre réacteurs simultanés en fusion, qui ressemble potentiellement à un accident de type Fukushima. EDF a trouvé l'arrêt immédiat de la centrale pour réaliser ces travaux injustifié, moi je le trouve justifié.'"

Nucléaire, danger immédiat. Thierry Gadault et Hugues Demeude, Flammarion, 286 p., 21 euros. À paraître mercredi 7 février.



Nucléaire : un séisme près de la centrale du Tricastin pourrait causer "un accident de type Fukushima", selon les auteurs d'une enquête


"Le Journal du dimanche" publie des extraits du livre de Thierry Gadault et Hugues Demeude, "Nucléaire, danger immédiat".

La France est-elle menacée par son parc nucléaire ? Oui, selon Thierry Gadault et Hugues Demeude, les auteurs du livre Nucléaire, danger immédiat. Le Journal du dimanche, daté du 4 février, a publié des extraits de cet ouvrage qui tire la sonnette d'alarme.


Pour les deux enquêteurs, la centrale du Tricastin (Drôme), "avec son réacteur 1, est la pire centrale du pays". "Ce réacteur cumule tous les problèmes : défauts sous revêtement, absence de marge à la rupture et dépassement des prévisions de fragilisation à quarante ans", énumèrent-ils.

Une centrale à 6 mètres en dessous du plan d'eau


Ils affirment également que le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) leur a dit "'qu'en cas de séisme fort, on pourrait aller vers une situation, avec quatre réacteurs simultanés en fusion, qui ressemble potentiellement à un accident de type Fukushima (Japon)"


Un risque que n'ignore pas EDF. Fin septembre, l'opérateur a mis provisoirement à l'arrêt les quatre réacteurs de la centrale nucléaire du Tricastin. Cette opération, qui a duré deux mois, a lieu "le temps de renforcer une courte portion de la digue située au nord de la centrale, en bordure du canal de Donzère-Mondragon". Objectif : être en mesure de faire face à un éventuel risque sismique. En effet, "la centrale est en contrebas du canal, à 6 m en dessous du plan d'eau", rappellent Thierry Gadault et Hugues Demeude.


CIGéo PAPERS: la poubelle de Bure !

CIGéo Papers, pourquoi cette expression ?
A vous de juger les "fuites" qui suivent.
Nous venons d'apprendre d'une source sûre, que des salariés de l'ANDRA remettent en cause la faisabilité de CIGéo.
Ils déclarent que les modèles mathématiques qu'on leur demande de produire ne peuvent pas démontrer que CIGéo n'aura pas d'impact sur l'homme et l'environnement sur une durée de 100 000 ans, voir 1 million d’années.
Ils avouent que la démonstration de sûreté n'est pas une démonstration mathématique mais un agencement cohérent de savoirs, un « faisceau d'arguments » donnant une représentation rassurante de l'évolution du stockage.
Le document que nous nous sommes procuré est authentique. On pourrait même le qualifier de certifié.
Le présent communiqué liste point par point les écrits et les dires de plusieurs équipes de salariés de l'ANDRA qui travaillent sur le projet CIgéo.
Il comprend 2 parties :
# - Les points clés
# - La liste détaillée des 38 points, à découvrir sur ce lien.
# - Les points clés
Les salariés de plusieurs équipes de l'Andra ont dit et écrit :
En ce qui concerne l'INVENTAIRE,
a1 -  « Il y a tout de même des trucs merdiques là-dedans ! » avoue un participant lors d'une réunion.
a2 - On demande à ces salariés de tout faire pour que la première tranche de Cigéo soit aussi peu problématique que possible.
a3 - "Les colis, ce ne sont pas des cadeaux !", crient les salariés qui n'ont aucune confiance dans les déclarations des producteurs de déchets. Ils font face aux mêmes problèmes que ceux des centres de stockage champenois de SOULAINES et de MORVILLIERS.
a4 - Pour plus de la moitié des déchets destinés au stockage, les salariés estiment que les connaissances du contenu des colis dont ils disposent sont mauvaises ou nulles. Ils sont même obligés de construire un inventaire par "analogie". Ils sont amenés à constituer des inventaires "enveloppes" (c'est à dire des inventaires dont l'impact radiologique est potentiellement le plus important) pour s'en sortir. - "Sinon, c'est faire un stockage pour stocker n'importe quoi." Ils savent que l'application arbitraire de "facteurs de marge de 2 ou de 10" risque de "faire peur". - Les salariés parlent de méfiance, d'hésitation et de tâtonnement.
a5 - Ils savent qu'un stockage "lowcost" ne permet pas d'y mettre tous les types de déchets.
En ce qui concerne les CALCULS et les INCERTITUDES
b1 - Un processus de revue, appelé Revue Finale des Modèles et des Données (RFMD) a été mis en place pour préparer la rédaction du dossier de demande de construction de Cigéo. On lit que quelques unes de ces réunions ont été interdites à une catégorie de salariés de l'ANDRA.
b2 - Les ingénieurs écrivent qu'il est formellement impossible d'assurer que les caractéristiques des ouvrages correspondront exactement aux exigences fixées pour leur conception. CIGéo n'est donc pas techniquement réalisable.
b3 - Un salarié déclare : " Il y a un travail de "toilettage" et de "wording" (ré-écriture) des documents à faire pour mieux expliciter certaines incertitudes. Il faudra les "highlighter" (surligner). Ils pourraient en effet être « mal interprétés » par un contre-expert comme Bertrand Thuillier, et pourraient avoir un effet dévastateur."
b4 - Pour minimiser les incertitudes, les salariés de l'ANDRA ont inventé la catégorie des incertitudes dites sans importance, comme :
- la longueur des alvéoles, leur inclinaison, leur position.
- l'émission et l'écoulement des gaz, la très faible perméabilité de l'argilite qui rend son étude expérimentale délicate - sa non homogénéité - les EDZ (Excavated Dammaged Zone - les zones endommagées par le creusement) - les scellements - la pression à l'intérieur des alvéoles HA.
b5 - Pour les salariés, il est impossible de garantir quoi que ce soit.
b6 - "On a été un peu light dans les docs, volontairement. Si l'IRSN est tatillon là-dessus, sur leur instruction, on est limite !" a déclaré un membre de la Direction de la maîtrise des risques.
b7 - La discrétion et l'omission sont envisagées comme solution pour gérer l'incertitude.
b8 - A propos de la dissolution des verres des colis HA : « Dans les passages d'un état à un autre où on doit donner un temps, c'est là que les emmerdes commencent. Est-ce qu'on a donné des temps à l'ASN ? » remarque un participant.
b9 - "On va trouver « tout Mendeleïev » dans les bétons !" déclare un chef de service de la direction de la R&D.
En ce qui concerne les SCENARII d'évolution du stockage
c1 - "Construire un scénario, c'est raconter une histoire !"
c2 - "Dans le « worst case » (pire cas) étudié en 2005, l'impact radiologique calculé était proche de la limite réglementaire. Je crains qu'avec les hypothèses fixées lors de la RFMD, les impacts calculés dépassent la dose maximale autorisée", déclare le directeur adjoint de la R&D. "Oh non ! Ça se négocie ce worst case !" répond la directrice adjointe de maîtrise des risques.
c3 - Quid de l'hypothèse d'une glaciation ? Une glaciation qui, gelant le sol, bloquerait la migration des radionucléides, puis les relâcherait rapidement lorsque la température augmenterait, et entraînerait une contamination supérieure à la limite autorisée, de la population revenant vivre dans cette zone après la période glaciaire.
c4 - « Si c'est limite dans les arguments, on fait qu'il saute ! », déclare alors un membre de la revue, suggérant d'abandonner ce scénario hypothétique, s'il s'avère trop critique.
A propos de la DEMONSTRATION DE SURETE
d1 - L'étude de la revue RFMD montre que la démonstration de sûreté est avant tout un exercice dont la conclusion est connue, et détermine en partie le choix des hypothèses retenues.
d2 - Prévoir précisément l'état du stockage dans plusieurs milliers d'années est scientifiquement impossible.
d3 - Aujourd'hui le calcul d'impact n'est plus qu'un élément parmi un "faisceau d'arguments."
d4 - Les salariés reconnaissent qu'il n'y aura jamais de démonstration de la sûreté d'un projet de stockage et, à partir des années 2000, l'impossibilité scientifique d'apporter une preuve de la sûreté d'un stockage.
d5 - Sur une période d'un million d'années, il est impossible d'assurer l'exhaustivité des éléments qui peuvent influer sur la migration des radionucléides.
d6 - La démonstration de sûreté de Cigéo ne s'apprécie pas en fonction de sa justesse, mais en fonction de sa capacité à convaincre ses évaluateurs.
d7 - Les échanges entre les salariés de l'Agence et leurs évaluateurs, avant la publication des dossiers, ont permis, permettent et permettront d'anticiper leurs attentes.
Voilà, ce sont les points principaux.
Une première question vient alors immédiatement à l'esprit : est-ce une erreur d'encadrement de ces salariés, une erreur du service communication de l'ANDRA, ou bien est-ce une fuite organisée par des salariés "responsables", qui en auraient marre de mentir et qui alertent ?
Une seconde question suit : le départ de responsables comme Marie-Claude DUPUIS, Directrice générale, et comme Fabrice BOISSIER, Directeur de la maîtrise des risques, en septembre et novembre 2014, ne serait-il pas un refus, tout à leur honneur, de cautionner un crime contre l'humanité ?
Nous présentons sur ces 20 pages
la liste détaillées des 38 points principaux.
A venir le Dossier sur le rôle ambigu de la CNE (Commission nationale d’évaluation) dans la création de CIGéo.
Merci aux journalistes qui feront leur travail.
Merci à chacun des autres destinataires de faire circuler cette information dans leurs réseaux.
Par ailleurs, vous trouverez une quantité d'informations complémentaires sur le site villesurterre.com, notamment :
- Nicolas HULOT : CIgéo, je dis NON !
- la vidéo argumentaire contre CIGéo de 28 minutes, issue de la rencontre avec la Directrice de cabinet de Nicolas HULOT.
- le cahier d'acteur n°97 du débat public CIGéo de 2013 (qui a été censuré par la CNDP)
- le Dossier CIGéo Papers, à suivre
Michel GUERITTE
Un citoyen qui ne fait que son devoir.
06 71 06 81 17

lundi 29 janvier 2018

Le radon, le gaz radioactif, ennemi de l’intérieur

Le radon, le gaz radioactif, ennemi de l’intérieur


Francoise Mesle, membre de l’association « UFC Que Choisir », présente un détecteur de gaz radon le 18 janvier 2018 à Rezé
© AFP JEAN-FRANCOIS MONIER

Rezé (AFP) – Inodore et incolore, le radon provoque jusqu’à 3.000 morts par an en France. Ce gaz radioactif, deuxième cause de cancer du poumon, reste pourtant méconnu du grand public, malgré plusieurs campagnes d’information locales.

Une quarantaine de personnes sont réunies ce jeudi soir de janvier dans une petite salle éclairée au néon de Rezé, dans l’agglomération nantaise.

A l’entrée, chacun s’est vu remettre un kit avec un dosimètre, à peine plus gros qu’une pièce de deux euros. Le petit appareil en plastique noir devra être installé pendant deux mois dans leur logement avant d’être analysé en laboratoire. Objectif: connaître son exposition au radon, un gaz radioactif qui émane du sol par la décomposition de l’uranium présent dans les roches granitiques ou volcaniques.

« On se prémunit d’autant mieux d’un risque qu’on le connaît parfaitement », explique Jean-Pierre Sarrazin, de l’association UFC Que Choisir. « Vous pouvez manger vos radis sans soucis », ajoute-t-il à l’adresse d’une femme qui lui demande si le radon peut contaminer les légumes de son potager.

Yves Judic, 64 ans, qui habite Saint-Herblain, est lui venu en espérant être rassuré, un peu moins de deux ans après la mort de son épouse d’un cancer du poumon. « C’est un problème qui me trotte dans la tête depuis », raconte-t-il. « Ma femme fumait, mais pas tant que ça, et j’ai une grosse cheminée en granit chez moi ».

L’UFC Que Choisir organise ce genre de réunions d’information quatre fois par an environ en Loire-Atlantique. Dans ce département, 80% des communes ont un « fort » potentiel radon, en raison du sous-sol granitique.

A Rezé, l’adjoint au maire est venu prononcer quelques mots d’introduction. Mais, d’habitude, « les élus sont réticents, ça ne leur plaît pas forcément de dire que leur commune est en risque fort. Et ils croient qu’on va faire passer des messages anxiogènes », explique Gérard Allard, vice-président de l’UFC Que Choisir locale.

Le radon, classé cancérogène certain depuis 1987, s’immisce par les fissures de la chape de béton et atteint des niveaux de concentration très élevés si la maison n’est pas aérée, expliquent les intervenants.

« Être dans une zone émissive ne signifie pas que votre maison aura du radon », précise Jean-Pierre Sarrazin. Parfois, une meilleure aération peut suffire à régler le problème.

Encore faut-il en avoir conscience. Car la plupart des gens ignorent jusqu’à l’existence même du radon. Selon l’Observatoire régional de la santé, 58% des habitants des Pays de la Loire n’en avaient jamais entendu parler en 2015, une région où une des (rares) campagnes de sensibilisation a été menée récemment.

Le gaz est pourtant largement présent dans l’Hexagone : en Bretagne, Pays de la Loire et Normandie, dans le massif central, les Pyrénées, une partie des Alpes, les Vosges ou en Corse, Guyane et en Nouvelle-Calédonie.

Parmi les collectivités en pointe sur le sujet, la ville de Nantes distribue gratuitement depuis 2007 des dosimètres à 70 habitants environ chaque hiver, une « démarche très volontaire » saluée par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).

La mairie a aussi fait des relevés dans les écoles publiques et engagé des travaux lorsque les niveaux de radon étaient trop élevés, alors que la réglementation ne l’y obligeait pas.

A Concarneau (Finistère), 5.000 dosimètres ont été distribués à la population en 2013. Des actions similaires sont menées en Franche-Comté et en Haute-Vienne en collaboration avec l’IRSN (Institut de Radioprotection et de sûreté nucléaire).

Mais la plupart du temps, le radon ne fait parler de lui que lorsqu’une école est évacuée en raison d’un taux anormalement élevé, comme en Haute-Vienne en 2015 ou l’an dernier dans les Hautes-Alpes.

« Tout le monde a déjà vu des campagnes pour la prévention routière, alors que la prévention pour le radon… », relevait ainsi Sophie Eglizaud, ingénieure d’étude à l’Agence régionale de santé (ARS), lors de la réunion de Rezé.

Selon la dernière étude publiée, le radon causerait entre 1.200 et 3.000 morts par an France. En comparaison en 2016, 3.477 personnes sont mortes dans un accident de la route.

© AFP

mercredi 17 janvier 2018

La France construit du thermique sans débat et la Chine fait du renouvelables !

Guyane : le projet Prométhée de centrale électrique hybride ne fera pas l'objet d'un débat public

Le projet Prométhée de centrale électrique hybride en Guyane ne fera pas l'objet d'un débat public, a décidé la Commission nationale du débat public (CNDP), le 10 janvier 2018. Le projet fera l'objet d'une concertation préalable sous l'égide de l'ancien préfet Philippe Marland. Le coût total estimé du projet, de l'ordre de 500 millions d'euros, ainsi que "l'importance des enjeux sociaux et économiques du projet, et de ses impacts sur l'environnement et l'aménagement du territoire", justifient la décision de la CNDP.
Pour rappel, la concertation préalable est la nouvelle procédure simplifiée destinée à assurer l'information et la participation du public à l'élaboration de certaines décisions susceptibles d'avoir une incidence sur l'environnement. Elle est créée par l'ordonnance réformant la participation du public d'aout 2016 qui clôt la réforme du dialogue environnemental initiée en novembre 2014 par le Président de la République suite à la mort d'un manifestant au barrage de Sivens.
Une centrale thermique de 110 MW et 10 MW de solaire
Le projet Prométhée prévoit la construction d'une centrale thermique d'une puissance de 120 mégawatts (MW) fonctionnant au fioul léger convertible au gaz naturel, associée à une centrale photovoltaïque de 10 MW. Cette centrale hybride, doit remplacée la centrale thermique de Dégrad des Cannes, qui devra être mise définitivement à l'arrêt le 31 décembre 2023. Elle assurera l'alimentation électrique de la frange littorale de la Guyane.
Ce projet a été validé dans le cadre de la programmation pluriannuelle de l'énergie de Guyane, adoptée le 30 mars 2017. Il est porté par EDF Production électrique insulaire et a fait l'objet d'un arrêté d'autorisation d'exploiter en juin 2017. "Sa localisation a été choisie par l'Assemblée territoriale de Guyane, parmi plusieurs sites", explique la CNDP.

 

 

 

Renouvelables : les installations photovoltaïques chinoises dopent les investissements mondiaux

L'année 2017 a été marquée par des investissements chinois records dans les installations photovoltaïques. Quelque 160 GW de renouvelables ont été installés dans le monde, dont 53 pour le seul solaire chinois.
En 2017, le boom du solaire en Chine occulte les autres évolutions du marché mondial des renouvelables. A lui seul, l'Empire du Milieu a investi 86,5 milliards de dollars dans de nouvelles installations photovoltaïques, soit légèrement plus de la moitié des investissements mondiaux dans le secteur, révèle le bilan des investissements 2017 dans les renouvelables publié par Bloomberg New Energy Finance (BNEF) ce mardi 16 janvier.
Cet investissement massif a permis aux montants investis de repartir à la hausse : ils ont atteint 333,5 milliards de dollars, en hausse de 3% par rapport au cru 2016 qui avait été marqué par une baisse de 18% (287,5 milliards de dollars). Ces montants se rapprochent du record de 360,3 milliards de dollars enregistré en 2015. "Le total de 2017 est d'autant plus remarquable si l'on considère que les coûts d'investissement de la technologie dominante, l'énergie solaire, continuent de baisser fortement", explique Bloomberg, précisant que "les installation photovoltaïques industrielles étaient environ 25% moins chers par mégawatt l'année dernière qu'ils ne l'étaient deux ans plus tôt".
En 2017, les nouvelles installations renouvelables (hors grands projets hydrauliques) ont atteint 160 gigawatts (GW), contre 126,5 GW en 2016 et 119 GW en 2015.
La Chine dépasse largement les anticipations
Sur l'année écoulée, les investissements chinois dans le photovoltaïque ont bondi de 58%, à 86,5 milliards de dollars. Au total, les Chinois ont installé quelque 53 GW de solaire sur l'année écoulé, contre 30 GW l'année précédente. Cela représente environ 20 GW de plus qu'anticipé par Bloomberg. "En dépit d'un fardeau croissant de subventions et d'une réduction de la puissance, les régulateurs chinois, sous la pression de l'industrie, ont tardé à freiner la construction de grands projets", explique le cabinet expert en politique énergétique. En outre, la baisse du coût de l'énergie solaire a conduit de nombreux acteurs à déployer des installations plus petites sur les toits et dans les parcs industriels. "Les grands consommateurs d'énergie en Chine installent maintenant des panneaux solaires pour répondre à leur propre demande, avec une prime minimale."
Bien sûr, les chiffres chinois ont un impact sur l'investissement mondial dans le solaire. Celui-ci a atteint 160,8 milliards de dollars (soit 48% de l'ensemble des investissements mondiaux dans les renouvelables), en hausse de 18% sur un an. Bloomberg note aussi qu'en 2017 deux projet géant de 1,5 GW et 0,8 GW ont été lancé aux Emirats Arabes Unis, pour des montants respectifs de 899 millions de dollars et 968 millions de dollars.
Du côté de l'éolien, les investissements se sont élevés à 107,2 milliards de dollars, en baisse de 12%. Toutefois, pondère Bloomberg, "des projets records ont été financés à la fois sur terre et en mer" : un projet de 2 GW aux Etats-Unis (pour 2,9 milliards de dollars, hors raccordement au réseau) et un projet de 1,4 GW au Royaume-Uni (pour 4,8 milliards de dollars). A cela s'ajoutent treize projets éoliens offshore financés en Chine, pour une capacité totale de 3,7 GW et une facture estimée à 10,8 milliards de dollars.
Les technologies énergétiques intelligentes constituent le troisième grand secteur d'investissement. Les compteurs intelligents, le stockage énergétique, les réseaux intelligents, l'efficacité, ou encore les véhicules électriques ont réuni 48,8 milliards de dollars d'investissement, en hausse de 7%.
Les investissements français résistent
Compte tenu des 132 milliards de dollars investis dans les renouvelables en 2017, la Chine est hors des portée de autres pays. Elle est suivie des Etats-Unis qui ont consacré 56,9 milliards de dollars aux renouvelables. Cela représente une hausse des investissements de 1% sur un an, "malgré le ton moins favorable aux énergies renouvelables adopté par l'administration Trump", note Bloomberg.
L'Australie et le Mexique se démarquent avec des bonds de 150% (à 9 milliards de dollars) et 516% (à 6,5 milliards de dollars) de leurs investissements. Ces progressions sont essentiellement dues à de grands projets éoliens et photovoltaïques. A l'opposé, le Japon a vu ses investissements diminuer de 16% (à 23,4 milliards de dollars), tandis que l'Allemagne recule de 26% (14,6 milliards de dollars) et le Royaume-Uni de 56,5% (10,3 milliards de dollars). "L'Europe dans son ensemble a investi 57,4 milliards de dollars, en baisse de 26% d'une année sur l'autre", ajoute Bloomberg, précisant que ce recul est dû au changement de politique de soutien public. Dans ce contexte, les investissements en France se portent plutôt bien, avec une hausse de 1% à 5 milliards de dollars.

samedi 9 décembre 2017

Huile de palme dans les carburants

Source : les Amis de la Terre     (6/12/2017)

http://www.amisdelaterre.org/Huile-de-palme-dans-les-carburants-la-filiere-commence-a-bouger.html

Huile de palme dans les carburants : la filière commence à bouger
Montreuil, le 6 décembre – Suite à une campagne d’interpellation des Amis de la Terre, les distributeurs commencent à prendre position pour demander l’interdiction de l’huile de palme dans les carburants. La pression repose désormais sur le gouvernement





Aujourd’hui, près de 75% de l’huile de palme consommée en France [1] est incorporée comme agrocarburant dans le gazole que nous trouvons tous les jours à la pompe. Une situation intenable face à laquelle les distributeurs commencent à réagir, comme l’explique Sylvain Angerand, coordinateur des campagnes pour les Amis de la Terre France : « Nous avons interpellé l’ensemble des distributeurs pour les alerter sur la situation. Après Leclerc et Systèmes U, Intermarché vient de s’engager à réduire puis éliminer l’huile de palme dans ses carburants d’ici 2020. D’autres distributeurs comme Carrefour demandent au gouvernement de peser sur les négociations en cours à Bruxelles pour faire interdire à l’ensemble des acteurs l’utilisation d’huile de palme dans les carburants ».

Le 30 novembre, c’est même l’Alliance Française pour l’Huile de Palme Durable qui a exprimé son souhait que l’huile de palme ne puisse plus être utilisée comme carburant [2]. Plusieurs études ont permis de montrer que l’huile de palme, principal moteur de la déforestation en Asie du Sud-Est, est le pire des « biocarburants » : chaque litre, issu le plus souvent de monocultures, a un impact trois fois plus négatif pour le climat que le gazole fossile [3].

Ces déclarations interviennent suite à une campagne de mobilisation lancée par les Amis de la Terre. Depuis le 30 octobre, ce sont près d’une vingtaine d’actions directes non-violentes visant les distributeurs qui ont lieu partout en France en partenariat avec ANV-COP21 et Alternatiba.

A Bruxelles, le Parlement Européen et les États membres ont ouvert les débats sur la révision de la directive énergie renouvelable. L’enjeu est d’en finir avec le soutien aux agrocarburants de première génération en général, et à l’huile de palme en particulier. Un débat brûlant alors que Total est en train de construire dans le Sud de la France, à La Mède, une « bioraffinerie » géante qui, à elle seule, pourrait doubler les importations françaises d’huile de palme [4].

Sylvain Angerand conclut : « Nicolas Hulot s’est engagé, au nom du gouvernement, dans le Plan Climat à fermer les vannes à huile de palme dans les carburants. Depuis, et sous la pression de Total et des pays producteurs, cet engagement est régulièrement édulcoré. Le Conseil de l’Énergie du 18 décembre pourrait être décisif et nous attendons que le gouvernement passe de la parole aux actes ».

En savoir +
[1] D’après http://agriculture.gouv.fr/durabilite-de-lhuile-de-palme-et-des-autres-huiles-vegetales