Un peu d'images et de chansons, car pas de lutte sans chansons, sur les hautes-alpes.
Il est clair que le mouvement est dans sa phase descendante, la connexion avec d'autres, camionneurs, qui ont obtenue leur prime, étudiant ne s'est pas fait. La trêve des confiseurs arrive et porte bien son nom.
Un homme sur le rond-point regarde toutes les belle voiture revenir du ski et dit" du fric y'en a en France, il est là, on vient de le voir passer".
D'une lutte des taxes, le mouvement passe à une lutte des classes, pas étonnant que le mouvement fissures pleins d'organisations, idéologie ou famille...
Reste que la joie est là, le mouvement gilet jaune permet une expression, une liberté dans les discours et la haine de cette richesse qui dégueule tandis que d'autres compte les pièces...
Comme toujours, l'indifférence est aussi de mise, le soutien moral ne suffit pas à faire changer les choses, les pensées ne servent pas à grand chose si des actes ne suivent pas, c'est un éternel.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire