Ce que raconte la pandémie en cours est la difficulté de croire à l'exceptionnelle, qu''il est inconcevable de changer le cours de sa propre normalité.
La destruction des climats en cours devrait nous décider comme une évidence de faire ce que l'on fait pour une épidémie, stopper les déplacements inutiles, rendre l'avion exceptionnelle, en finir avec le tourisme de masse, relocaliser les économies, investir dans les hôpitaux et les pompiers, changer le cours de notre normalité.
TOUT CHANGER DU JOUR AU LENDEMAIN. l’alerte Générale
Mais ce que raconte la pandémie en cours est que même face a un danger imminent, nous tergiversons, nous trouvons tout cela exagéré, nous trouvons disproportionné de stopper ou deviez le train de nos vies, lancé a toute barzingue.
La planète va bruler , un continent l’Australie a brulé, c'est télévisé, spectaculaire mais lointain, ça arrive au autre au bout de la terre.
Une épidémie, arrive a une nation, on la regarde incrédule, on trouve les réactions pour la contenir disproportionnées.
Et les rois du monde les spéculateurs de continuer a spéculer en rond.
Ils doivent attendre que le présent s'affiche concrètement chez eux pour s’affoler! Étonnant car spéculer, veut dire parier, prendre position sur l'avenir, rien ! Non seulement leur entreprise qu'est la spéculation est néfaste mais il le font mal. Ils croient qu'ils voient toujours gagné !
Drôle d'époque qui a tout figer dans instantanée ou même les hôpitaux ont leur stocks de produits basiques et non périssables en flux tendu !
Drôle de pays que le notre qui creuse les Alpes pour gagner une heure en dépensant une fortune tout en fermant des lits des hôpitaux.
On est plus très loin des shadoks , ces animaux stupides qui passaient leur temps a pomper!
Ce que raconte cette pandémie déjà est notre impossibilité a sortir de nos lignes malgré tout ce que l'on sait.
Une jeune adolescente avec qui je manifestais pour le climat, me parlait de son angoisse pour l'avenir. Jje lui demandais ce qu'elle souhaitait faire après le bac, me racontait qu'elle souhaitait faire des études de design. Je ne lui répondis pas que ces études ne serviront a rien dans un monde en feux, qu'infirmière me semblait plus cohérent. Elle était inquiète et informé mais refusait d'enterrer les fameuses lignes droites qu'on lui avait mis dans la tête.
Le coronavirus est la fin des lignes droites, la fin de la croissance, la fin de l'exponentiel de spéculation, la fin du mythe du progrès continu, la fin mythe de la fin de l'histoire. Même si l'épidemie se limite a quelques centaines de milliers de morts, souvent âgés, l'explosion de la mega bulle financière aura lieu.
Il y avait de l'essence partout, il manquait l'allumette.
C'est un peu comme si après avoir laissé s'accumuler de l'essence, un début d'incendie soit parti en 2008, cet incendie fut eteint en étouffant les flammes sous l'effet de souffle d'un bombardement au canadair rempli.....d'essence..... Depuis chaque départ était éteint avec un bombardement d'essence mais que faire si tout prend !
Je peux passer comme péremptoire, mais depuis des années je raconte cela sur ce blog. Il y a eu le boom, la bulle, le krack( 2008), la crise, la méga bulle et le badaboum (voir ici).
La méga-bulle en explosant, va faire abattre les cartes et ceux qui ont le mistigri vous s'en apercevoir.
Cela va être douloureux pour eux, pour ceux qui se croyait riche. Il vont ce rendre compte qu'il sont tout nu. Il réclameront leur du, mais ont leur répondra MISTIGRI.
La purge va être sévère et nous les déjà purgé on a un avance sur eux : l'habitude !
Mais si cela pouvait être un choc mentale salvateur pour qu'on comprennent que si le coronavirus menace les plus âgés, que les jeunes ne rient pas trop fort toutes les jeunes générations ont un sacré mistigri le climatovirus !
Enfin du neuf dans ce monde ou l'on fonçait a toute barzingue dans le mur, on vient de crevé un pneu, on sait que ca va partir dans tout les sens mais c'est moins angoissant que la ligne droite....
Vous me croyez pas, moi aussi pourtant j'en suis sur !
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